Un cadeau d'anniversaire inhabituel

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il y a 6 ans

Quelques jours avant mon anniversaire, quand ma femme me demande ce que je souhaite comme cadeau, je la regarde avec envie. Comme d'habitude, elle lève les yeux au ciel

  • Mais tu ne penses qu'a ça?

  • Eh bien, pourquoi pas? Toujours en forme, la bonne épaisseur, la bonne dimension et tu n'as jamais été déçu.

Nous avons cette conversation chaque année et comme chaque année je ne reçois jamais ce que je demande. Cette année encore, nous sommes au lit pendant que nous avons cette conversation. Nous sommes blottit l'un contre l'autre, je titille son oreille avec mes lèvres.

Elle se penche en arrière et tourne son visage vers moi.

  • Peut-être que pour une fois, je pourrais t'offrir quelque chose de différent... Je pense qu'au lieu de te donner du sexe, peut-être que je pourrais, euh, ne pas te donner de sexe.

  • Mmph, bien sûr ... Un, quoi ?

  • Eh bien, j'ai pensée...

Je la coupe dans son explication.

  • Ah, non, tu sais que j'aime trop te faire l'amour...

  • Idiot, laisse-moi finir. Ça fait longtemps que nous n'avons pas joués avec la cage de chasteté. Donc j'avais pensée qu'au lieu que tu m'harcèles pour avoir du sexe pour ton anniversaire, je pourrais, t'enfermer pendant quelques jours. Ensuite, si je le souhaite, nous pourrions avoir une petite soirée coquine pour ta libération.

Je réfléchi pendant quelque instant.

  • Et qu'est ce que ça me rapporte de ne pas avoir pas de sexe?

J'embrasse son cou en attendant de sa réponse. Elle tend la main vers mon bas ventre pour me caresser.

  • Il te suffit de penser dans quel état d'excitation tu seras quand j'aurai enfin décidée de te laisser sortir. D'ailleurs, je crois me souvenir que la dernière fois tu as trouvé cela excitant d'être contrôlé par moi, non.

Je dois admettre que les rares fois ou nous avons joués avec la cage de chasteté j'ai bien aimé cela et que depuis je suis devenu accroc de ce genre de jeu sexuel.

  • A encore une chose, si tu acceptes le jeu, je veux que tu t'engages à satisfaire toutes mes envies et c'est moi qui décide de quand et comment.

Pressant mes testicules avec ses doigts elle fini par me convaincre d'accepter toutes ses conditions.

  • D'accord, ça paraît bien. Alors pour mon anniversaire, s'il te plaît, ne me donne pas de sexe.

  • Très bien, tes désires son des ordres, bébé, pour ton anniversaire tu n'aura pas de sexe. Maintenant éteint la lumière il est tard.

Comme d'habitude nous nous installons rapidement pour dormir. Peu de temps après elle s'endort contre moi, me laissant fantasmer sur mon prochain cadeau.

Jeudi :

Jeudi soir, elle prend une douche avant de me rejoindre au lit. Profitant de l'occasion, j'embrasse son dos, ses épaules, et commence à la caresser. Devenant de plus en plus insistant, je colle mon corps chaud contre le sien. Nous nous embrassons. Ma bite dure trouve rapidement sa chatte humide. Lentement, je la pénètre, je la sens se raidir. Elle cesse de m'embrasser, penche sa tête en arrière et ferme les yeux. Comme a chaque fois, la première fois que je la pénètre elle jouis toujours rapidement. Je ralenti mes coups, je ressort lentement d'elle, puis descend vers son ventre en embrassant ses cuisses. Je commence a sucer sa chatte. Elle place ses cuisses sur mes épaules et coince ma tête contre son sexe. A nouveau elle jouis facilement. Après un long silence elle murmure.

  • Encore, s'il te plaît ne t'arrête pas.

Je reprends mes caresses et au bout de quelques minutes elle se raidit encore une fois et retombe sur le dos. Enfin elle m'attire sur elle pour que je pénètre a nouveau dans sa chatte humide. Je rentre profondément jusqu'à ce que les poils de mon sexe caresses ses lèvres intimes. Je lui fait l'amour pendant quelques minutes jusqu'à ce qu'elle enfonce ses ongles dans mon cul et me bloque contre elle. Encore une fois elle jouis, puis enfin ouvre les yeux pour me regarder.

  • Mmmm, tu es si bon pour moi. Maintenant, met toi sur le dos que je te chevauche.

Je lui souri.

  • Tes désirs sont des ordres.

Rapidement nous changeons de position. Elle s'assoie sur mon sexe dur et commence a bouger doucement. Quelques instants après, je m'aperçoit rapidement qu'elle va avoir un autre orgasme. Je me plains.

  • Hé, ce n'est pas juste! Elle presse ses hanches contre les miennes et jouis encore une fois.

Elle reste allongée sur moi, ses seins contre mon torse. Quelques instants plus tard elle me dit.

  • C'est trop bon de faire l'amour avec toi.

Je tiens ses hanches et bouge en elle, en essayant de prendre mon plaisir. Elle me demande.

  • Tu a peut être envi de jouir?

  • Non, pas encore. Je suis au bord, mais j'essaie juste de faire durer un peu plus longtemps le plaisir.

Elle se redresse et m'embrasse. A nouveau, en bougeant ses hanches, je vois qu'elle essai de me faire venir. Encore une fois elle me demande de façon insistante.

  • Tu ne veux toujours pas jouir?

Je me concentre en secouant la tête. Elle me sourie.

  • Tu sais, je pensais à te faire quelque chose de spécial pour ton anniversaire.

En essayant de me contrôler, je lui réponds.

  • Si c'est sexuel, ça me convient.

Je ferme les yeux en imaginant ce que ça pourrait être. Cette année, mon anniversaire tombe un lundi soir. Comme d'habitude après notre journée de travail je pense que nous serons tous les deux trop fatiguer pour faire quelque chose de vraiment 'spéciale'. Mentalement je soupire, puis j'ouvre les yeux. Elle est penchée sur mon corps, son visage au-dessus de moi. En voyant la façon dont elle me regarde, j'imagine quelque chose de très différent. Je l'imagine seulement vêtue d'un corset de cuir, brandissant un fouet et me f o r ç a nt à ... m e r d e , je suis au bord de la jouissance. Je tiens ses hanches pour la faire ralentir un peu.

  • Tu veux encore te retenir?

  • Juste une minute, je me sens si bien.

  • Eh bien, moi j'ai envie que tu jouisses rapidement parce qu'après je veux que tu fasses quelque chose pour moi.

J'arque mes sourcils et l'interroge du regard. Elle se penche en avant pour atteindre la table de chevet. Je l'entends fouiller dans le tiroir de notre table de nuit. Quelque chose cogne contre le bois, et quand elle se redresse, elle tient ma cage de chasteté entre ses doigts.

  • Une fois que tu auras jouis, je veux que tu mettes ça.

Lorsqu'elle me dit ça, ses yeux brillent, puis elle rajoute.

  • Je vais t'enfermer pendant un certain temps.

Malgré moi, je sens mon orgasme approcher. Je l'ai déjà porté pour elle avant, mais elle ne m'a jamais fait une demande aussi directe. J'adore quand elle se fait dominante. Je lève les yeux vers elle, en me demandant si elle est sérieuse. Elle me sourit.

  • Tu vas porter ceci, et puis peut-être, que je te donnerais un cadeau d'anniversaire que tu n'es pas prêt d'oublier.

Rapidement je pense que mon anniversaire c'est lundi prochain, seulement quelques jours à attendre. Enfermé là-dedans jusqu'à dimanche soir ou au plus tard lundi? Ce qui veut dire que je serais enfermé tout le week-end. D'autre part, si elle me propose de jouer avec la cage, peut-être qu'il y a une chance que je sorte un peu avant. Si je me montre gentil avec elle, peut-être qu'elle me libérera le samedi. Je lui demande.

  • Euh, tu ne vas pas m'enfermer tout le week-end, quant même?

  • On verra, si tu mérites d'être libéré rapidement ou pas. Allez maintenant, tu jouis en moi ou tu veux qu'ont arrête tout de suite et que je te mette la cage?

Je ne peu plus me retenir, je gémis bruyamment et jouis au fond de sa chatte.

Quelques instants plus tard je suis couché sur le lit. Elle est allongée sur moi, je lui murmure à l'oreille.

  • Oh, ça a été le plus bel orgasme que j'ai eu depuis je ne sais pas combien de temps.

Elle m'embrasse pendant quelques instants, puis lentement, se lève pour prendre une serviette. Elle essuie son sexe du trop plein de ma jouissance. Son sexe reste ouvert, il est désormais devenu sensible. Je me lève pour aller aux toilettes. En revenant, je me glisse dans le lit et je vois qu'à nouveau elle me montre la cage puis me demande.

  • Tu es prêt?

Voyant qu'elle est sérieuse, je lui prends la cage des mains et place l'anneau en acier autour de mes couilles. Je place ma bite dans le tube et attends. Elle me tend le cadenas que je mets dans le trou de la bague. Repoussant mes doigts sur le côté, elle actionne le mécanisme elle même et j'entends un 'clic'.

  • Ça y est, maintenant nous pouvons dormir, je suis fatiguée.

Malgré l'énorme orgasme que j'ai eu, je sens ma bite revivre à nouveau dans le tube. J'essayai de l'ignorer, et m'installe contre ma femme. Elle ne tarde pas à s'endormir. J'écoute son souffle régulier et rapidement je la suis dans son sommeil.

Vendredi :

Vendredi matin, je me réveille avant que le réveil sonne. Mon sexe tente de durcir dans le tube de ma cage métallique, mes boules sont en feu. Les premiers jours sont les plus durs, je sais par expérience que le confinement de mon sexe dans la cage va me tenir éveillé. Mon gland doit être rouge d'excitation et ma peau marquée par les trous d'aération qui sont tout le long du tube. Je me recroqueville derrière le dos de ma femme et essayai de me calmer en appuyant mon bas ventre contre son cul chaud. Comme d'habitude, ça ne fait qu'empirer les choses. Après un quart d'heure, je sais que je ne pourrais pas me rendormir. Je pousse ma main entre ses jambes et frotte doucement son sexe. Quelques instants plus tard, elle gémit pendant son sommeil et se retourne sur le dos. Maintenant j'ai plus facilement accès à son sexe. Bientôt sa respiration s'accélère, et sa main se déplace pour me caresser. Elle me serre doucement les couilles. Je vois un léger sourire sur ses lèvres pendant qu'elle tâte ma bite a travers la cage. Bientôt mes doigts l'amène à l'orgasme. Sa main, qui pour l'instant ne m'a apportée que de la frustration, arrête ses caresses. Je chuchote a son oreille.

  • Nous pourrions peut-être faire un câlin?

Ses yeux sont toujours fermés et elle secoue la tête.

  • Je suis encore endormi, j'ai besoin d'un peu plus de sommeil. Lève toi et arrête de me déranger.

Je l'embrasse dans le cou et sort du lit pour me préparer a partir au travail. La journée passe doucement. De temps en temps je sent mon sexe bouger dans la cage, et me demande comment je vais pouvoir tenir tout un week-end. Lors de mes déplacements au bureau, je fais attention que cela ne se remarque pas trop. Dans la journée il m'arrive d'oublier que je porte une cage de chasteté et parfois un peu péniblement, je reprends vite conscience que je suis mis en cage. Enfin ma journée de travail s'achève, il est temps de rentrer à la maison. Dès que je passe la porte de notre domicile, je remarque de moi-même que je suis plus tendre avec ma femme. Dès mon arriver je la touche et l'embrasse tendrement. Mon attitude envers elle change et je la regarde amoureusement comme aux premiers jours de notre vie commune. Pendant toute la soirée, elle se colle volontairement à moi. Caressant la bosse de mon pantalon et me demande

  • Comment te sent tu là dedans? J'ai pensé a toi toute la journée. J'ai bien aimé hier au soir...

Je vous assure que ses petites phrases innocentes ont le pouvoir de m'exciter. Après le dîner, pendant que je fais la vaisselle elle ne se prive pas du plaisir de me toucher l'entrejambe. Pour bien m'exciter, elle pousse son cul contre mon sexe, au moins une douzaine de fois au cour de cette soirée. Au moment de se coucher, je suis déjà très chaud, et je ne me cache pas pour lui montrer mes envies. Après une douche qui me permet de me calmer un peu, je me met au lit. Ma femme continu a se montrer très 'garce' et je ne suis pas surpris quand elle m'annonce qu'elle va prendre une douche avant de me rejoindre. Quelques minutes plus tard, elle reviens dans la chambre, se couche et colle son corps nu et humide contre moi. Elle se penche pour caresser mes couilles.

  • Ce n'est pas trop difficile? Je suppose que tu n'ai pas trop intéressé par moi ce soir. Peut-être que nous devrions dormir?

  • Je sais que je ne peux pas bandé mais je peux peut être faire quelque chose pour toi?

Elle comprend mon message, peu de temps après, j'embrasse son sexe chaud. Depuis le début que nous sommes ensemble, elle a l'habitude de profiter de mes caresses orales, mais ce qu'elle préfère plus que tout c'est une lente pénétration profonde. Je suis toujours étonné de sa facilité a avoir des orgasmes multiples. Ce soir, pour moi c'est impossible de la pénétrer alors je fait de mon mieux pour lui donner un ou plusieurs orgasmes avec ma bouche. Je suce ses lèvres et taquine son clitoris avec ma langue. Comme d'habitude elle apprécie ce que je lui fais et en jouis rapidement. Pendant une minute, je fais une pause, en lui embrassant les cuisses et le ventre. Je m'apprête à lui lécher encore une fois sa chatte, quand elle m'arrête.

  • Non, maintenant je veux que tu me prennes.

  • Euh, je ne peux pas, enfin je veux dire, sauf si tu me, euh...

Elle me coupe la parole.

  • Non idiot, prend le jouet qui est dans le tiroir.

Elle veut sans doute que j'utilise le nouveau gode en silicone que nous avons achetés récemment. Je le sort du tiroir et rampe vers le bas de son ventre. Je la caresse lentement avec le jouet, lèche son clitoris et les lèvres de son sexe. Bientôt elle remue ses hanches en fonction de son plaisir. J'aurais pu la faire jouir rapidement, mais je préfère la taquinée avec le jouet en le retirant et le poussant a nouveau au plus profond de son sexe. Certainement lassée par mon geste elle m'avertis avec autorité.

  • Arrête de jouer, fait moi jouir ou tu vas le regretter.

  • Quoi ? Pourquoi tu aime bien jouer avec moi, alors pourquoi pas moi?

Les yeux fermés, elle me répond.

  • Parce que tu es censé faire ce que je veux. Pas toi.

Elle garde les yeux fermés tandis que je continu a lui manger le sexe et a la baiser avec le gode. Enfin elle se raidit et saisi mes cheveux, signe que c'est particulièrement bon pour elle. Elle plaque ma figure contre son sexe. Je continu à lui masser le clitoris avec ma langue. Enfin, elle gémie et retombe sur le matelas. Je m'arrête de la lécher et retire le gode. Il brille de son jus. Elle me vois le regarder puis m'ordonne.

  • Lèche le pour le nettoyer.

Je lui fait un clin d'?il, et lèche les traînées blanchâtres qui sont collées au gode, comme si c'était un cornet de glace. Je bande tellement que j'en ai mal, elle est toujours d'humeur à jouer. Elle me dit.

  • Tu sais ce que nous n'avons pas essayé depuis longtemps? Le gode ceinture.

Surpris, je lui réponds.

  • Tu es sérieuse?

Elle hoche la tête.

  • Oui, dépêche toi de le mettre.

J'ouvre a nouveau le tiroir et sort l'enchevêtrement de cuir et de boucles qui font parti du gode ceinture. Je me glisse rapidement dans le harnais que je boucle sur mes hanches. Je le place un peu plus haut sur mon ventre car ma bite gonflée est sur l'emplacement habituel. Quelques instants plus tard, j'ai un deuxième sexe entre les jambes. C'est un sentiment étrange car je ne ressens rien lorsque je la pénètre. Elle est un peu surprise.

  • Oh, ce qu'il est froid.

J'essaie de me réglé sur un rythme de va et viens tout en douceur. Le bout de mon sexe tente de sortir de la cage et touche son cul.

  • C'est bon, je peux sentir deux bites en même temps.

Maintenant, devant mon manque de liberté, je gémis de frustration. Ma femme, par contre, se met a haleter et tremble lorsqu'elle a un autre orgasme. Comme d'habitude, elle jouis rapidement. Je ralenti mon rythme en sortant presque entièrement le sexe factice, puis je replonge lentement en elle. C'est difficile pour moi de savoir ce qu'il faut faire puisque je ne peux pas réellement sentir la pénétration. Il me semble que cela lui convient car ses hanches bouges et reviennent contre les miennes. Elle me demande malicieusement.

  • Tu es prêt à me faire jouir encore?

J'acquiesce d'un mouvement de tête et je continu doucement mes mouvements, en poussant ma cage contre son cul. Je la vois se mordre les lèvres, et quelques instants plus tard, elle saisie mon cul avec ses ongles et me tiens fermement coller à elle. Je ralenti a nouveau le rythme.

-Non, ne t'arrête pas, j'ai encore besoin.

Je reprends un rythme plus rapide et profond. Sans être capable de sentir ses lèvres chaudes autour de mon sexe, j'ai du mal a savoir ou elle en est. Sachant que ma bite est enfermée dans la cage et que je n'ai aucune possibilité de jouir, je deviens presque fou. Je regarde le gode entré et sortir de son sexe et espère follement ressentir quelque chose. Je ne remarque même pas son orgasme jusqu'au moment ou elle pousse à nouveau un petit cri.

Encore une fois, elle s'effondre sur le lit sans ouvrir les yeux.

  • Mmmm, c'est merveilleux. Oh mon Dieu, que c'est merveilleux.

Elle me sourit doucement.

  • Peut-être que je n'aurai plus besoin de te libérer, après tout...

  • Tu rigole j'espère, tu ne vas pas me dire que je vais rester comme ça! Je vais exploser si tu ne me libères pas.

  • Mais c'est tellement agréable. Tu me suces si bien, et maintenant tu peux même me baiser en même temps. En plus je n'ai plus de problème de nettoyage après ou d'incontinence comme lorsque que tu jouissais en moi. Maintenant je peux m'endormir directement sans passer par la salle de bain.

Elle ouvre les yeux et me sourie méchamment. Je mets une main sur sa poitrine, elle me repousse.

  • Bon, ça suffit pour ce soir. Il est temps de dormir.

  • Suffit pour qui?

Je suis tellement mal que j'ai vraiment besoin de jouir. Je ne vais jamais réussir à dormir comme ça. Je défais le harnais et retire le gode ceinture. Elle me répond.

  • C'est assez pour moi, dit-elle. Si tu as vraiment trop mal, va mettre un gant d'eau froide sur ta cage. Ça devrait soulager tes envies.

Constatant qu'il ne se passera rien d'autre ce soir, j'emporte les jouets dans la salle de bain pour les nettoyer. J'ai envie de faire pipi, mais je ne pense pas pouvoir débander suffisamment. Une fois les jouets nettoyés, je retourne au lit. Je la retrouve presque endormi. Frustré au-delà de mes espérances, je me recroqueville contre son dos. La sensation de son cul chaud contre moi est un réconfort et une t o r t u r e a la fois.

Samedi :

Je n'ai pratiquement pas dormi de la nuit. Mon sexe est enflé et douloureux. J'ai du avoir au moins une douzaine d'érection, ou plutôt des tentatives d'érection pendant la nuit. Chaque tentative me rappel que mon sexe est sous le contrôle de ma femme. Au petit matin, je suis tombé dans un sommeil agité. Nous n'avions pas mis le réveil pour cette première journée du week-end. De toute façon je me suis réveillé tôt a cause de mon sexe enfermé. Ma femme, bien sûr, dors encore. Je ne veux pas la réveiller, mais j'espère que peut-être, je pourrais la convaincre dans la journée de me laisser sortir pour avoir un petit soulagement. Bien que je ne suis en cage que depuis jeudi soir, il me semble que ça fait déjà une semaine. Les premiers jours sont toujours les pires. Je n'ai jamais été plus loin que quelques jours. Une fois, ma femme est partie pour son travail pendant une semaine, j'ai porté la cage tout ce temps, mais ça m'avait semblé plus facile car elle n'était pas là pour me donner des envies. Loin des yeux, loin du c?ur, je suppose.

Je la caresse, elle se réveille facilement. Un peu trop facilement, car presque aussitôt elle me demande de descendre vers son sexe. Elle m'explique en plaçant ses cuisses autour de ma tête.

  • J'ai fait un beau rêve. Tu passais ton temps à me sucer et me baiser avec le gode, et tu ne jouissais jamais. J'étais ta reine et tu t'occupais bien de moi.

  • Ah oui, c'est effectivement un beau rêve.

Sans vouloir être ironique, j'essaie de jouer avec ses sentiments pour ne pas la contre dire.

  • Hum, je pense que tu a rêvé de ça parce que ton sexe à envi de sentir le mien. Je suis persuadé que rapidement mon sexe te manquerais de trop qu'ils ne pourraient se passer l'un de l'autre...

  • Chut, ça suffit, en attendant mange moi.

Je lèche son sexe et la suce jusqu'à ce qu'elle ai deux orgasmes, puis je remonte sur elle en embrassant son cou. J'essaie au cas ou.

  • Euh, tu es sûr que ton sexe ne veut pas un peu de ma bite?

  • Hmm, peut-être que je voudrais bien te sentir en moi. Cependant c'est dommage que tu ne puisses pas.

  • Bien sûr que je peux. T'as juste a me déverrouillé, je sort de cette cage et je te donne la plus belle queue gonflée que t'as jamais eu. Çà ne te tente pas?

Elle m'embrasse et me repousse en arrière.

  • Oh si bien sur ce serait merveilleux, mais tu ne pourras jamais sortir de cette cage de tout le week-end, même si j'en ai envie.

  • Bien sûr que je peux en sortir, si tu me donnes la clé... et ... qu'est-ce que tu veux dire par - même si t'avais envie de me débloquer?

Je m'assois brusquement dans le lit. Avec douceur, elle m'attire vers elle.

  • Ah, je ne t'ai pas dis? J'ai laissée la clé au bureau. Je voulais éviter toute tentation, car je sais combien tu peux être convaincant dans ces moments là.

Elle me sourit et descend sa main pour serrer ma bite gonflée. A son contact je gémis. Il semble que pour moi attendre lundi soir est désormais inévitable. Elle remonte les draps sur elle et se prépare à se rendormir. Je suis tellement découragé que quelques minutes plus tard, je me lève pour préparer un café pour nous deux. Après avoir pris mon petit déjeuné, j'enfile des vêtements pour aller travailler dans le jardin. J'y passe le reste de la journée. Je creuse, je transporte les débris, je coupe et ratisse le jardin. A la fin de la journée, le bénéfice de mon énergie refoulée a permis d'obtenir un bel endroit de détente.

Elle n'est même pas venue me voir une seule fois de la journée, même pas pour me taquiner comme elle le faisait hier au soir. Résultat, mon sexe ne me fait plus mal. Le soir je met quelques grillades sur le barbecue, et nous passons une agréable soirée en toute simplicité. Ensuite je saute dans la douche ou elle vient me rejoindre. Presque aussi tôt elle me dit.

  • Je suis fatigué, est-il possible que nous n'ayons pas de sexe ce soir?

De nouveau elle recommence a me taquiner. Je sent ma frustration remontée et lui demande.

  • Comment pourrions-nous avoir un rapport sexuel de toute façon?

Nous nous savonnons l'un et l'autre sous la douche, en sachant que je ne pourrais pas sortir de ma cage. Pendant la douche, elle repousse ma main qui tente de caresser son sexe, peut-être qu'elle est vraiment fatiguée. Soudain j'ai une idée.

  • Peut-être que je pourrais te détendre avec un bon massage?

  • Oui ce serait bien.

Nous terminons la douche. Elle se couche sur le lit. Je caresse sa peau avec de l'huile chaude. Ce n'est pas un massage sexuel, c'était juste des caresses. Bientôt son dos, ses jambes et ses fesses sont aussi lisses que la soie. Elle roule sur le dos pour que je puisse m'occuper de son autre coté. Je commence par ses épaules et sa poitrine, puis j'étale de l'huile sur son ventre, ses cuisses et le long de ses jambes jusqu'à ses pieds. Elle se plaint.

  • Mes pieds aussi sont secs.

Immédiatement je m'en occupe avec le restant d'huile. Il me vient une idée, je me lève pour prendre une serviette dans la salle de bain. J'en profite pour attr a p e r une bouteille de dissolvant, des boules de coton et une petite bouteille de vernis rouge. Toujours nu, je lui dis de passer sur la chaise que nous avons dans notre chambre. Elle s'assoit au bord, je met de l'acétone sur une boule de coton puis je frotte ses ongles de pieds avec. En quelques minutes, son vieux vernis est enlevé. Elle ne dit rien pendant tout le temps que dure l'opération, mais en voyant mon sexe gonflé à travers les barreaux de la cage, elle me demande.

  • Tu ne serais pas un fétichiste des pieds?

Je lui fais mon plus beau sourire et lui répond.

  • Ne t'inquiète pas, je profite juste du moment. J'aime bien quand je m'occupe de toi. Bien sûr, si tu veux voir en moi un fétichisme des pieds...

Je lève les yeux vers elle, puis reprend mon travail. Je met du coton entre ses orteils et prend ses pieds que je pose sur mes jambes. Je les frottes avec une serviette propre et commence à étaler le nouveau vernis. Je pense qu'elle est plutôt surprise de me voir aussi concentré sur ce que je fais. Je fais attention de ne pas en mettre partout. Finalement ce n'est pas différent de la peinture que je faisais à l'époque sur des maquettes. En quelques minutes j'ai mis une belle couche de vernis rouge sur ses orteils.

Je relève mes yeux vers elle et lui dit.

  • Voila, pendant environ 10 ou 15 minutes il faut attendre que ce soit sec avant que je puisse te mettre une seconde couche. J'ai une idée sur la façon dont je peux te faire passer le temps.

Doucement je soulevai ses jambes jusqu'à mes épaules et me penche sur son sexe humide. Elle se laisse faire et avance un peu plus son bassin vers le rebord de la chaise. Je peux sentir l'odeur du savon sur son sexe. Avant que ses cuisses recouvrent mes oreilles je l'entend me répondre.

  • Quelle excellente idée, c'est comme dans mon rêve.

Peu de temps après, elle gémit doucement. De nouveau je prends douloureusement conscience que ma bite est enfermée dans ma cage de métal. Une fois qu'elle a eu son plaisir, je lui fais la remarque suivant.

  • Je suis sûr que tu es prête pour une deuxième couche.

A nouveau, soigneusement je peins ses ongles. En attendant que la seconde couche sèche, je range les serviettes, l'acétone, et tout le reste. Je suis assis à ses pieds, frottant ses mollets et ses cuisses. Peu de temps après, je retire les morceaux de coton de ses orteils. Elle se met rapidement dans le lit ou je ne tarde pas à la rejoindre. Je me place sur le dos, elle se recroqueville à côté de moi en mettant sa jambe sur ma cuisse. Elle embrasse mes lèvres et me remercie pour le massage et la pédicure. Je lui avoue.

  • J'ai toujours voulu faire cela pour toi.

  • Tu es bizarre, mais j'aime bien.

Elle baisse sa main pour caresser ma cage. Je sursaute et gémis, à la fois de plaisir et de frustration. Bientôt elle met son bras sur mes épaules, et sa jambe contre ma anche. Elle s'installe pour dormir. Je regarde la télévision jusqu'à ce que la pression de mon sexe en cage diminue. Encore une fois, je dors par à-coups, mais tout de même un peu mieux que la veille.

Mes érections ne m'ont pratiquement pas réveillées de la nuit. Je commence à m’y habituer.

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